L'Orient le jour - Rizk passe la main à Najjar, 19 Juillet 2008
La passation des pouvoirs s’est déroulée hier au ministère de la Justice entre le ministre sortant Charles Rizk et le nouveau ministre Ibrahim Najjar. La cérémonie s’est déroulée en présence du directeur général du ministère, le juge Omar Natour, du président de l’Institut d’études judiciaires, le juge Sami Mansour, du juge Antoine Braïdi et d’un certain nombre de hauts fonctionnaires du ministère.Pour l’occasion, le ministre sortant, Charles Rizk, a félicité le ministre Najjar, précisant qu’ils partagent « la même culture ». « Le ministère de la Justice est différent des autres ministères », a souligné M. Rizk, précisant que « la justice a réussi à ouvrir une fenêtre sur l’étranger et plus spécifiquement sur la communauté internationale », alors que « les deux pouvoirs législatif et exécutif étaient menottés et minés par la crise ». Et d’affirmer que ce qui le convainc particulièrement chez le nouveau ministre est le fait qu’il soit « d’accord avec tout ce qui a été entrepris », sans compter sa grande culture juridique. M. Rizk a ajouté que « le tribunal international est une partie indéfectible de la justice libanaise et un élément unificateur des Libanais », et « non pas, comme certains veulent le faire croire, un élément de discorde ».
La passation des pouvoirs s’est déroulée hier au ministère de la Justice entre le ministre sortant Charles Rizk et le nouveau ministre Ibrahim Najjar. La cérémonie s’est déroulée en présence du directeur général du ministère, le juge Omar Natour, du président de l’Institut d’études judiciaires, le juge Sami Mansour, du juge Antoine Braïdi et d’un certain nombre de hauts fonctionnaires du ministère.Pour l’occasion, le ministre sortant, Charles Rizk, a félicité le ministre Najjar, précisant qu’ils partagent « la même culture ». « Le ministère de la Justice est différent des autres ministères », a souligné M. Rizk, précisant que « la justice a réussi à ouvrir une fenêtre sur l’étranger et plus spécifiquement sur la communauté internationale », alors que « les deux pouvoirs législatif et exécutif étaient menottés et minés par la crise ». Et d’affirmer que ce qui le convainc particulièrement chez le nouveau ministre est le fait qu’il soit « d’accord avec tout ce qui a été entrepris », sans compter sa grande culture juridique. M. Rizk a ajouté que « le tribunal international est une partie indéfectible de la justice libanaise et un élément unificateur des Libanais », et « non pas, comme certains veulent le faire croire, un élément de discorde ».
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