L'Orient le jour - Jamil Sayyed contredit le ministre de la Justice, 11 octobre 2007
Le bureau d’information de l’ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, a déploré, dans un communiqué, « les informations erronées fournies par le ministre de la Justice, Charles Rizk, en Conseil des ministres ou lors de son interview télévisée, mardi ». Accusant le ministre de déformer les propos du président de la commission internationale d’enquête sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre, Rafic Hariri, Serge Brammertz, au sujet de la détention des quatre officiers, le communiqué indique que le magistrat belge avait fait savoir aux autorités compétentes que ses prérogatives ne lui permettaient pas de demander quoi que ce soit à la justice libanaise. Il rappelle que le général Jamil Sayyed avait été arrêté sur base des propos du témoin Zouheir al-Siddik et que M. Brammertz avait présenté au procureur Saïd Mirza un rapport refutant les dépositions de Siddik.
Le bureau d’information de l’ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, a déploré, dans un communiqué, « les informations erronées fournies par le ministre de la Justice, Charles Rizk, en Conseil des ministres ou lors de son interview télévisée, mardi ». Accusant le ministre de déformer les propos du président de la commission internationale d’enquête sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre, Rafic Hariri, Serge Brammertz, au sujet de la détention des quatre officiers, le communiqué indique que le magistrat belge avait fait savoir aux autorités compétentes que ses prérogatives ne lui permettaient pas de demander quoi que ce soit à la justice libanaise. Il rappelle que le général Jamil Sayyed avait été arrêté sur base des propos du témoin Zouheir al-Siddik et que M. Brammertz avait présenté au procureur Saïd Mirza un rapport refutant les dépositions de Siddik.
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