L'Orient le jour - Sayyed réclame sa libération immédiate, 2 avril 2008
Dans un communiqué publié hier, le bureau de presse de l’ancien directeur général de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, a indiqué que ce dernier a remis au juge d’instruction Sacre Sacre, par le biais de son avocat, un mémorandum dans lequel il lui demande de le libérer sans tarder.La requête du général Sayyed se fonde, explique le texte, sur le rapport du président de la commission internationale d’enquête, Daniel Bellemare, qui avait affirmé qu’« un réseau criminel d’individus » est responsable de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri et d’autres attentats au Liban.Après avoir indiqué qu’il n’a pas été interrogé par un magistrat ou confronté à des témoins au cours des deux dernières années, M. Sayyed, poursuit le communiqué, s’est dit « prêt à rester à la disposition des enquêteurs après sa libération ». Selon le texte, « son maintien en détention va à l’encontre des données recueillies par la commission internationale d’enquête et confirme le caractère politique de son incarcération ».
Dans un communiqué publié hier, le bureau de presse de l’ancien directeur général de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, a indiqué que ce dernier a remis au juge d’instruction Sacre Sacre, par le biais de son avocat, un mémorandum dans lequel il lui demande de le libérer sans tarder.La requête du général Sayyed se fonde, explique le texte, sur le rapport du président de la commission internationale d’enquête, Daniel Bellemare, qui avait affirmé qu’« un réseau criminel d’individus » est responsable de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri et d’autres attentats au Liban.Après avoir indiqué qu’il n’a pas été interrogé par un magistrat ou confronté à des témoins au cours des deux dernières années, M. Sayyed, poursuit le communiqué, s’est dit « prêt à rester à la disposition des enquêteurs après sa libération ». Selon le texte, « son maintien en détention va à l’encontre des données recueillies par la commission internationale d’enquête et confirme le caractère politique de son incarcération ».
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